Depuis 1995, la compagnie Les Larrons a produit 11 spectacles et réalisé plus de 1000 représentations à Paris, en France et à l’étranger:

  • « Le Baiser de la Veuve » de Israël HOROVITZ
  • « Le Jardin d’Amilcar » de Bernadette HEUBERT
  • « Le Monte-Plats » de Harold PINTER
  • « L’Épreuve » de MARIVAUX
  • « Altenheim » de François CHODAT
  • « L’Imposture Comique » de Pascal BANCOU
  • « Caserio Anarchiste » de Roger DEFOSSEZ
  • « De Toi à Moi «  de Pierre LONDICHE
  • « La Soupe aux Orties » de Roger DEFOSSEZ
  • « Adam, Eve et descendances » de Pascal BANCOU
  • « Asie Afrique » de William Timothée ROUX

La presse en parle

Le baiser de la veuve

« …Du grand art. Pour sa première mise en scène, Xavier Lemaire fait du très bon travail…. On passera au théâtre Mouffetard une très bonne soirée. »

FIGAROSCOPE – Jean-Luc JEENER

« …Quant aux acteurs, ils sont excellents…Tout aussi brillamment, une mise en scène impressionnante pour un coup d’essai s’ajoute à cette réussite qui rend honneur à l’oeuvre d’Horovitz. Alors, précipitons-nous… Très bientôt « les larrons » gagneront la foire magique d’Avignon. Espérons que les festivaliers sauront profiter de l’aubaine. »

LE QUOTIDIEN DE PARIS – Sabine MADA

« Il y a ceux qui disent qu’il n’y a plus de talent. Ou plus de théâtre. Les imbéciles. Ces larrons-là nous mettent du baume au coeur et un peu de piment dans le sang. En digne fils du cinéma, peu importe lequel de Godard à Spielberg, ils aiment les choses qui bougent, qui balancent des vérités en pleine figure. Ils n’aiment pas les demi-mesures, cela ne veut pas dire qu’ils n’aiment pas que les choses prennent le temps aussi de germer, de s’installer pour qu’éclate une vérité évidente… Du théâtre Tocsin comme l’aime Mnouchkine ».

LE MIDI LIBRE – Martine BRÈS

Le jardin d'Amilcar

Un spectacle digne d’intérêt se joue à partir d’aujourd’hui sur la scène de l’espace Paris-Plaine. On s’éloigne des productions bouts-de-ficelles au profit d’un véritable travail de mise en scène (signée Xavier Lemaire) et d’un décor simple mais relativement bien pensé. Les trois comédiens engagés dans l’aventure jouent leurs rôles à merveille. Les interventions du musicien sont intéressantes, les costumes jolis. Faisant preuve d’une belle énergie, l’équipe de Xavier Lemaire mérite d’être applaudie.

Laure Bernard – FICAROSCOPE – 27/03/96

Dans cette histoire sans queue ni tête, ce sont les répliques qui comptent, les surprises, les transformations de personnages, la musique, la chorégraphie. Le jeune public comprend tout de suite quand il convient d’avoir peur et quand il faut rire.

Henriette Bichonnier – TELERAMA – 24/04/96

Le Monte-plats

Coup de pouce du OFF « Xavier Lemaire avec la Compagnie « les Larrons » signe une mise en scène forte et intelligente avec le Monte-Plats de Harold PINTER. »

Le Provençal

« La version de Xavier Lemaire opte pour le polar existentialiste,… René Remblier et Florent Pelayo ont de l’abattage et beaucoup de présence… Ce spectacle de la compagnie Les Larrons ne laisse pas indifférent. »

L’Humanité

L'épreuve de Marivaux

« Stéphanie Mathieu livre une sensibilité d’interprétation dans une plastique quasi cybernétique. Et dans ces instants, la beauté se confond avec l’émotion… « 

M. FLANDRIN – Radio France

« Altenheim vient jeter un pavé dans la mare de la génétique… un fort agréable moment de théâtre »

K.P. – Le Dauphiné Libéré

Altenheim de François Chodat

« Stéphanie Mathieu livre une sensibilité d’interprétation dans une plastique quasi cybernétique. Et dans ces instants, la beauté se confond avec l’émotion… « 

M. FLANDRIN – Radio France

« Altenheim vient jeter un pavé dans la mare de la génétique… un fort agréable moment de théâtre »

K.P. – Le Dauphiné Libéré

Caserio anarchiste de Roger Défossez

Roger Défossez nous invite à partager les derniers jours de Caserio dans sa cellule. Ce texte est une très belle fable qui donne à Caserio une dimension et un discours d’une grande modernité.

France Inter

Une interprétation forte, qui permet au spectateur de comprendre, instantanément, ce courant de pensée qui a marqué le XIXe siècle. […] Les comédiens accentuent, par leur naturel, la dimension tragique du destin de Caserio.

Marie-Cécile Bérenger – La Provence

Caserio anarchiste, est plus qu’une réussite : un évènement.[…] On voit à quel point la réussite d’une telle pièce tient à la magie même du théâtre.[…] Caserio anarchiste, ou quant l’art dément l’impuissance et la résignation devant l’histoire.

Radio méditerrannée

L’imposture comique de Pascal Bancou

«Distrayant, agréable, malicieux et roué Et disons le aussi, très joliment joué»

Le Figaroscope

“ Un plaisir communicatif “

Le Guide de l’Express

“ Un spectacle d’une grande intelligence “

Le Pariscope

“ Une pièce haute en couleur servie par une mise en scène enlevée. Un régal “

Le Nouvel Économiste

Asie Afrique

Magnifique, d’une richesse énorme et rare Association Beaumarchais

L’histoire se joue autour d’un face à face. En 1401, au Moyen Orient, le savant arabe Ibn Khaldoun vient parlementer auprès de Tamerlan, grand conquérant turco-mongol, pour tenter de l’empêcher de raser la ville de Damas et éviter un massacre. Négociation au sommet entre un chef de guerre tout puissant et un intellectuel devenu homme politique… sujet ô combien actuel ! Fondée sur un fait historique réel, la première pièce de Timothée-William Roux, mise en scène par Xavier Lemaire, relève d’un bel exercice de diplomatie. A travers le portrait de ces deux grands personnages, incarnés par les excellents Michel Chabasse et Ziani Cherif Ayad, nous assistons à une véritable bataille de l’intelligence contre la volonté de puissance, de la force du rationnel contre le nerf de la guerre à tous crins. Un duel admirable, qui explore au passage les fondements des la science, de la philosophie et de la politique, pour questionner la survie de la cité dans la guerre. Une reflexion passionante dont les comédiens nous font ressentir à chaque instant l’enjeu crucial.

PARISCOPE – octobre 2004

Les deux comédiens sont très bons… Intéressant, intelligent, convaincant.

Figaroscope – octobre 2004

«Le délicieux spectacle ! Pas besoin d’être grand érudit pour savourer cette joute à fleuret mouchetés entre le jeune et sémillant Molière et le vénérable et aigre Corneille, avec pour arbitre la coquette et séduisante Armande Béjart… Imaginez plutôt que le génial auteur du Cid soit le nègre de Poquelin. (…) Du XVIIème à aujourd’hui, nombreux ceux qui ont entretenu le doute sur la paternité des oeuvres du créateur du Misanthrope.

Télérama

Pascal Bancou reprend la polémique avec verve et humour. Dans cette talentueuse première pièce, il brosse avec une irrésistible gaîté les caractères contrastés de nos deux grands classiques. Mis en scène avec fantaisie dans un espace charmant, interprété avec gourmandise par quatre comédiens rompus au style grand siècle, l’exercice pourtant difficile est feu d’artifice. »

Fabienne Pascaud